(+) souriante - fétarde - ne se prends pas la tête - attachante - généreuse.
(-) infidèle- ne s'attache plus aux gens - râleuse - grande gueule - sur existé.
« Ce qu'aime le plus au monde Roxane, aller en soirée, chez des amis, en boite. Pourquoi attendre le samedi pour faire la fête ? Elle, dès qu'elle a l'occasion, elle y va. Elle aime s'amuser sans se prendre la tête. Les histoires d'amour ce n'est pas pour elle. Loin de là. Elle préfère vivre au jour le jour, sans savoir ce qui se passera demain. Roxane aime également faire du sport le lendemain de soirée, rien de mieux pour éviter d'avoir la gueule de bois, elle aime aller courir seule dans le parc ou n'importe où, dans quel ne croise personne. Roxane ne s'attache pas aux gens, sauf quelques personnes, elle n'aime pas les personnes inactifs, ce qui sont mou, sans aucune vie, le contraire d'elle quoi. Elle préfère avoir des amis, avec qui elle peut être naturel, s'amuser sans penser à rien. »

Taille : 1m65
Poids : 61
Couleur des yeux : Marron.
Couleur des cheveux : Brun.
Longueur des cheveux : Longs.
Style vestimentaire :

Spoiler:

Voix : Pas besoin d'une belle voix, pour être journaliste
Signe(s) Particulier(s) : Un tatouage, dans le bas du dos.

Diplômé de : Ecole à Londres.
«

Tout à commencé le 03 mars 1989, je suis née dans une famille, à l'apparence normal, sauf qu'il manquait quelque chose, un homme. J'ai pas toute suite compris le pourquoi du comment, j'ai commencé à grandir sans rien savoir, avec une mère qui s'occupait de moi, je connaissais qu'elle, je n'avais pas d'autres famille, à Noël je recevais mes cadeaux que d'une seule personne, ma mère. J'ai grandi dans la ville de Londres, avec comme seul connaissance un garçon. Le seul être masculin que je connaissais et que j'appréciais surtout, les autres je les trouvais nul, je voyais en eu des moins que rien. Ce garçon, Logan je passais mon temps à jouer avec lui, à n'importe quoi, comme des enfants, on riait, on faisait des petites betises ensemble. Mais j'étais heureuse. Au début de mon adolescence, à mes 13ans, je me posais des questions, pourquoi les autres avait'il un père et moi non ? Pourquoi il avait un homme chez eux ? J'étais en âge de comprendre.

Absence de père, je réalise combien ma mère est forte.

Ce père, sur qui je me suis posé des tas de questions, j'ai compris que finalement mes rêves n'étaient que des rêves et qu'il ne reviendrait jamais, ma mère m'a tout expliqué, pour qu'au final je sache juste que quand ma mère lui a annoncé la nouvelle, il est parti. Je n'ai jamais eu besoin de lui, ma mère avait pris sa place. J'ai toujours eu une rage envers les garçons, ne jamais leur faire confiance, j'ai toujours pensé ça, jusqu'au jour, où je suis tombée amoureuse contre mon grès. De ce garçon que je connaissais depuis toujours. Entre nous tout acommencé par un défi et notre histoire a été faite de haut et bas, jusqu'au jour de mon déménagement, le plus gros bas qu'on ait connu je crois bien, plus aucune nouvelle de lui. Par fierté, on n'a pas voulu continuer pourquoi on s'aimait à en creuver; aujourd'hui je hais les mecs, je veux les faire souffrir. Pour rejoindre cette ville, j'ai décidé d'être journaliste, j'ai laissé ma mère là-bas, mais je sais que malgré tout elle aura toujours un oeil sur moi, je me souviens de ces mots : Tu es ma vie, mon sang; Avoir une fille c'est trembler de peur, quand tu te maquilles pour un menteur. Je hais les hommes et leurs regards, je connais leurs ruses et leurs victoires, te fait pas avoir. J'espère que quand viendra mon jour, tu penseras encore à moi. Je t'aime.»